Ode aux binge drinkers
Championne du monde au chrono en vidanges de demis
C'est ce que je suis.
Boire, pourquoi pas ?
Mais tant de mal à dire "stop là !"
Les lendemains sans entrain
J'ai envie de leur dire : "FIN"
Vous qui me connaissez
Sachez que c'est pas gagné
6 Comments:
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By Gwendoline Klingon, at 9:24 PM
C'est pas not' faute, c'est passqu'on est trop cools. C'est les autres qui sont stressos :
Les "binge-drinkers" boivent au minimum dix verres par semaine, régulièrement cinq ou plus en une seule occasion, alors que les "light-drinkers" s'en tiennent à un grand maximum de cinq verres par semaine. Quinze minutes après leur premier verre, les "binge-drinkers" se sentent euphoriques, communicatifs et légèrement agités. Il semblerait que les "light-drinkers" ne ressentent nullement le kick du premier verre et sont dès lors moins enclins de boire plus. Les "binge-drinkers" indiquent qu'ils recherchent précisément ce kick du premier verre et que celui-ci les incite justement à boire plus. Les chercheurs ont essayé de savoir pourquoi les effets psychologiques de l'alcool diffèrent d'un groupe à l'autre. Ils ont constaté entre autres que le niveau de cortisol (le cortisol est une hormone qui apparaît en cas de stress) augmente chez les "light-drinkers" dès le premier verre, ce qui n'est pas le cas des "binge-drinkers". Il n'apparaît pas encore clairement si les différences entre les "binge-drinkers" et les "light-drinkers" sont déterminées par des facteurs génétiques.
http://www.bierengezondheid.be/index.php/articles/fr/cid=3/aid=510/
By Gwendoline Klingon, at 9:26 PM
mmmhhhhh le kick du premier verre !!
By Anonyme, at 5:26 PM
moi c'est plutôt le hic du dernier verre...
By -- Zan, at 12:24 AM
Zan, alcool hic.
By Anonyme, at 11:25 PM
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lolikneri havaqatsu
By Anonyme, at 7:32 PM
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